
Tous les débuts sont difficiles. Mais tout ce qui est difficile peut être simplifié.
Beaucoup d’étudiants ne trouvent pas la motivation pour se mettre à travailler pour les ECNi. Au début d’une randonnée cela peut aussi arriver. Le sommet est trop loin, à quoi bon marcher trois jours complets pour y arriver ? On se dit que l’on n’aura jamais la force de faire la montée. Arrivé au sommet, la beauté du paysage nous saisi et on se demande comment notre esprit avait pu autant hésiter avant de se lancer dans l’aventure.
Pour l’ECNi, c’est presque identique. Le résultat du concours influe sur tellement de paramètres de sa formation d’interne : poste de spécialité, ville d’affectation, classement dans sa promotion et donc affectation dans les terrains de stage plus ou moins bon ; qu’une fois le résultat du concours face à nous, on se souvient à peine de la difficulté du parcours, des moments de doute. d’hésitation… On voit le résultat.
Vient donc la question : comment se motiver jusque là ? Comment avoir la force et la motivation de travailler chaque jour ? De rester des après-midi, voir des soirées entières à la bibliothèque ou dans son bureau pour préparer les partiels et le concours ?
Retrouvez ici les solutions testées avec succès pendant trois d’externat :
#1 Se fixer des deadlines à court terme. Une liste d’item à apprendre par jour, ou par semaine, une date d’un partiel avant lequel on veut avoir fini tel matière en entier. Deadlines make you live !
#2 Varier les matières travaillées dans la journée. Parfois on se met à travailler la même matière plusieurs jours de suite et on arrive vite à un point de saturation où l’on en peut plus de cette matière. Il est alors très utile de changer de matière. On se remet alors à travailler facilement.
#3 Se fixer des heures précises de travail. Certaines journées sont difficiles : quoi que l’on fasse on n’arrive pas à travailler. Il peut être alors très rentable de se fixer deux heures de travail. Entre 15h30 et 17H30 par exemple où l’on élimine toute forme de distraction. Le portable est en mode avion, la porte de son bureau est fermé, on s’assoit un coin secret de la BU où personne ne nous voit. Et c’est parti pour deux heures de travail sans se faire déranger. Une fois les deux heures terminées on peut s’autoriser une vraie pause, bien longue avec un bon chocolat chaud. La pause terminée, soit on se sent d’attaque pour refaire une heure de travail efficace, soit on ferme tous ses bouquins et on regarde sa série préférée sans culpabiliser vu que l’on a bien travaillé pendant deux heures ! La motivation revient facilement après…
#4 Se fixer un objectif de cas et de QI à faire dans la journée. Et s’y tenir. A l’approche des partiels on peut aussi se dire que l’on va faire et corriger toutes les annales de son module disponible sur SIDES. A la fin de la journée, il est facile et satisfaisant de mesurer le travail accompli. Le lendemain, on pourra se remettre à apprendre son cours sur les collèges en ciblant ses points faibles.
Bon courage ! La route est longue mais le résultat vaut le coup !
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